Voici
une page consacree aux chansons que j'aime et qui pour moi sont les plus
belles chansons francophones qui parlent d'amour, si vous voulez me proposer
une chanson qui vous touche, je pourrais la rajouter...Certaines chansons
ne sont que des extraits, si vous desirez les lire en entier ou encore
connaitre leur titre, leur date de sortie... contactez moi
" Je donnerai
mon âme
A l'enfant que tu voulais
Je donnerai mes larmes
Au regard que tu avais
Je donnerai la flamme
Au souffle que tu portais
Je donnerai les larmes
Aux batailles qui nous perdaient
Je donnerai mon âme
Comme l'amie de ton âme
Comme un homme
Que son amour condamne
Et qui sait qu'il n'y a plus rien à croire
Après l'espoir ......
Pense à moi
Quand ses yeux te caressent
Pense à moi
Quand ses gestes te blessent
Pense à moi
Quand son ombre te laisse
Pense à moi
Pour autant de ce temps qui me reste
Pense à moi
Quand le rideau se baisse
Pense à moi
A force de faiblesse
Pense à moi
Que mon corps se redresse
Pense à moi
Pense à moi
..... Loin de toi .....
Pense à moi
Je laisserai les heures
Faire le tour de tes poignets
Je laisserai plusieurs
De mes nuits à ton chevet
Je laisserai l'odeur
De ta peau encore plus près
Je laisserai la peur
Avoir peur d'être trop près
Je laisserai mon coeur
Au coeur de ce que tu es
Et si j'en meurs
C'est que mourir le voulait
Et tant pis s'il n'y a plus rien à croire
Après l'espoir .....
Pense à moi
Quand ses yeux te caressent
Pense à moi
Quand ses gestes te blessent
Pense à moi
Quand son ombre te laisse
Pense à moi
Pour autant de ce temps qui me reste
Pense à moi
Quand le rideau se baisse
Pense à moi
A force de faiblesse
Pense à moi
Que mon corps se redresse
Pense à moi
Pense à moi
..... Loin de toi .....
Pense à moi
Pense à moi
Quand le rideau se baisse
Pense à moi
A force de faiblesse
Pense à moi
Que mon corps se redresse
Pense à moi
Pense à moi
..... Loin de toi .....
Pense à moi"
"J'ai
longtemps parcouru son corps,
Éfleuré cent fois son visage
Trouvé de l'or et même quelques étoiles en essuyant
ses larmes,
Et j'ai appris par coeur la pureté de ses formes,
Parfois, je les dessine encore
Elle fait partie de moi.
Je veux juste
une dernière danse,
avant l'ombre et l'indifférence,
Un vertige puis le silence,
Je veux juste une dernière danse.
Je l'ai connu trop tôt
Mais c'est pas ma faute,
Le flèche à traversé ma peau,
C'est une douleur qui se garde,
Qui fait plus de bien que de mal,
Et je connais l'histoire,
il est déjà trop tard,
Dans son regard,
On peut apercevoir,
Qu'elle se prépare,
Au long voyage.
REFRAIN
Je peux mourir
demain
ça ne change rien
j'ai reçu de ses mains
le bonheur encré dans mon âme,
C'est même trop pour un seul homme
Et je l'ai vue partir
sans rien dire,
Il fallait seulement qu'elle respire
Merci, d'avoir enchanté ma vie.
avant l'ombre
et l'indifférence,
un vertige puis le silence,
Je veux juste une dernière danse...\"
( Kyo 2003
)
"Par
le petit garçon qui meurt près de sa mère
Tandis que les enfants s'amusent au parterre
Et par l'oiseau
blessé qui ne sais pas comment
Son aile tout à coup s'ensanglante et descend
Par la soif
et la faim, et le désir ardent,
JE VOUS SALUE MARIE
Par les gosses
battus par l'ivrogne qui rentre
Par l'âne qui reçoit des coups de pieds au ventre
Et par l'humiliation
de l'innocent châtié
Par la vierge vendue qu'on à déshabillée,
Par le fils
dont la mère à été insultée
JE VOUS SALUE MARIE!
Par la vieille
qui trébuchant sous trop de poids s'écrie mon Dieu
Par le Malheureux dont les bras,
Ne purent s'appuyer sur une amour humaine
Comme la croix du Fils sur Simon de Cyrène,
Par le cheval tombé sous le chariot qu'il traine,
JE VOUS SALUE MARIE!
Par les quatres
horizons qui crucifient le monde
Par tout ceux dont la chair se déchirent ou succombe
Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains,
Par le malade que, l'ont opère et qui geint,
JE VOUS SALUE
MARIE!
Par la mère
apprenant que son fils est guéri
Par l'oiseau recceuillant l'oiseau tombé du nid
Par l'herbe qui à soif et recueille l'ondée
Par le baiser perdu, par l'amour redonné
Et par le mendiant retrouvant sa monnaie,
JE VOUS SALUE
MARIE!\"
Ce n'est
jamais qu'une histoire
Comme celle de milliers de gens
Mais voilà c'est mon histoire
Et bien sûr c'est différent
On essaie, on croit pouvoir
Oublier avec le temps
On n'oublie jamais rine, on vit avec
Forse non
sei stato mai
Il presente che vrrei
E sbaglagio a fare tuoi
Quei progetti solom iel
Ma ho imparato a dire no
All'illusione che ci sei
Per vivere il ricordo che ho di noi
{Refrain:}
On a plusieurs vies, mais une seule grande histoire de coeur
Quand l'amour s'enfuie, il n'y a jamais de vainqueur
Si on pouvait tout refaire, balayer nos erreurs
On n'oublie jamais rien, on vit avec
Per ogni
viaggio che faro'
Per ogni abbraccio che darai
So che mi proteggero'
Ma non mi dimentichelo' mai
Ho capito che si puo'
Dire voglio e non vorrei
Per vivere il ricordo che ho di noi
Je n'avais
plus la patience
D'espérer juste un sourire
Notre avenir se brisait
Sur l'autel des souvenirs
J'attendais une autre chance
Je ne l'ai pas vue venir
On n'oublie jamais rien, on vit avec
{au Refrain}
Quand tu
lui disais "Je taime"
Tu entendais pour la vie
On n'oublie jamais rien
So che mi proteggero'
Ma non dimentichero' mai
On n'oublie jamais rien
C'est toujours le même problème
On croit ce qu'on a envie
On n'oublie jamis rien, on vit avec
{au Refrain}
Per vivere
il ricorod che ho di noi
On n'oublie jamis rien, on vit avec...
( Helène
Ségara et Laura Pausini 2003 )
J'ai tout
appris de toi
J'ai vaincu mes incertitudes
J'ai pleuré dans tes bras
J'ai même changé mes habitudes
J'ai bousculé ma chance pour épouser tous tes repères
Comme une évidence et du mieux que j'ai su faire
S'il n'en reste qu'un que tu sois celui-ci
Que tu restes mien qu'il en soit ainsi
Je t'en prie
{Refrain:}
Ne pars pas ou je meurs avant l'heure si je perds mon essence
Ne pars pas ne laisse pas mon âme seule sans croyance
La douleur et la peur si je croise ton absence
Ne pars pas me lâche pas j'ai besoin de ta présence
Et puis retrouver
le désir des premières fois
Jusqu'au dernier mot dit pour en arriver là
Je n'ai pas vu venir la lame qui s'enfonce
Et le mal est pire dans la différence
Je t'en prie
{au Refrain}
Ne pars pas
ou je meurs avant l'heure si je perds mon essence
Ne pars pas ne laisse pas mon âme seule sans croyance
La douleur et la peur si je croise ton absence
Ne pars pas ou je pars avant toi
{au Refrain}
J'ai besoin
de ta présence
Ne pars pas
(Sofia Mestari )
Jéricho
ne sait pas par coeur toutes mes chansons
Jéricho ne sait pas le prix de ma maison
Jéricho ne sait pas la marque de ma moto
Ni combien de chevaux se cachent sous mon capot
Jéricho ne sait pas ma place au box office
Jéricho ne sait pas la vertu ni le vice
Jéricho ne sait pas si je suis resté rebelle
Ou simplement fidèle à mes vieux idéaux
{Refrain:}
Mais que sait Jéricho?
Qu'est ce que sait Jéricho?
Tout le reste, tout le reste
tout le reste, tout le reste
Et si ça vous intéresse,
si ça vous intéresse
Cherchez pas dans le journal
Non, cherchez pas!
Demandez à mon cheval
Jéricho
ne sait pas arriver en retard
Jéricho ne sait pas combien vaut un dollar
Jéricho ne sait les damnés de la terre
La Reine d'Angleterre ses robes et ses chapeaux
Jéricho ne sait pas ni le feu, ni la cendre
Jéricho n'sait même pas où c'est le Onze septembre
Jéricho ne connaît ni d'Adam ni d'Eve
La convention de Genève et les accords d'Olso
{au Refrain}
Jéricho
sait très bien se méfier des humains
Quand leur sourire est faux
Jéricho sait très bien lire les lignes de ma main
Avec son souffle chaud
Jéricho sait très bien qu'on peut aller très loin
Lui et moi sur son dos
Mais que sait Jéricho?
Qu'est-ce qu'il sait Jéricho?
Cherchez pas dans le journa
Non cherchez pas!
demandez à mon cheval
( Florent
Pagny )
Je ne sais jamais si tu vas venir
Quand je t'attends je peux m'attendre au pire
Je ne sais jamais si c'est un retard
Ou si c'est moi qui invente une histoire
Peux-tu comprendre
le chemin que c'est d'attendre
Peux-tu te rendre comme je le fais sans jamais être là à
t'attendre
{Refrain:}
Tant que c'est toi
D'un bout à l'autre
Ou l'autre à tout moment qui attendra
Tant que c'est toi
D'aller l'un vers l'autre
Peut importe le temps que ça prendra
Tant que
c'est toi
Je ne sais
jamais si tu prends ton temps
Ou le mien que tu perds inutilement
Penses-tu qu'il faille que je regrette
Ce parcours du combattant
Peux-tu comprendre
le chemin que c'est d'attendre
Et d'en dépendre, serais-tu prêt sans jamais être là
à t'attendre
{au Refrain}
Et si tu
prenais peur, qu'un doute m'effleure
Qu'j'me sois trompée d'endroit et d'heure
Qu'il ait le doute mais c'est trop tard
{au Refrain}
Tant que
c'est toi...
( Natacha St Pierre )
Sous le maquillage
que dessine l'amour, est ce que j'aurai le courage de plaire encore un
seul jour.
Si ce n'était pas lui, tout ces mots qu'ont a bu, est ce qu'on
me dirait oui ou l'ivresse a-t-elle disparue ?
Est ce qu'on pourrait encore parler de mon sourire et faire de mon corps
le premier de ses désires ?
Ce peut-il que l'on m'aime, qu'on pardonne mes fautes est ce que je serai
la même dans les yeux d'un autres...
Je ne pense
pas à mal, quand mes doutes s'exposent, un sentiment normal quand
on est une femme je suppose.
Si jamais je le perd parce qu'on se mord parfois. Est-ce que je pourrais
plaire ? Est ce que je pourrais dites moi ?
Est ce qu'on pourrait encore parler de mon sourire et faire de mon corps
le premier de ses désires ?
Ce peut-il que l'on m'aime, qu'on pardonne mes fautes est ce que je serai
la même dans les yeux d'un autres...
Est-ce qu'on
pourrait me suivre pour un regard dans la rue ? Me dire que l'on veux
vivre avec moi l'inconnu ?
Qu'on me dise que l'on m'aime, que l'on pardonne mes fautes ...
Est-ce que je serai la même dans les yeux d'un autre ?
Ce peut-il que l'on m'aime, qu'on pardonne mes fautes ...
Est-ce que je serai la même dans les yeux d'un autre ?
Julie Zenatti
"Il
y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Si tu vois,
Flotter une larme bohème
Dans les yeux, mon cur s'y promène
C'est qu'alors je pense à toi
C'est comme
ça,
Le bonheur n'est pas géomètre
J'ai pas de plans à te soumettre,
Je sais pas le faire marcher droit
M'en veux
pas
Si je ne peux rien te promettre
C'est que je voudrais tout peut-être
Et ça ne me suffirait pas
Pas à
pas
Je parle à tâtons et j'effleure
Tous ces mots qui reprennent couleur
Quand je les pose sur toi
Et je vois
Les rêves qui hésitent encore
Prendre la forme de ton corps
Et je souris malgré moi
Jusque-là
J'croyais à peu près me connaître
J'ai tout jeté par ta fenêtre
Pour mieux m'apprendre dans tes bras
M'en veux
pas
Si je ne sais rien te promettre
À part dans ces phrases muettes
Que je vagabonde sur toi
Laisse-moi
le temps de t'aimer sans penser au-delà
Tu me souris et tu te tais, mais tu ne comprends pas...
Laisse-moi, le temps de trouver l'empreinte pour mes pas
À force de t'avoir cherchée, j'ai un peu peur de moi
Peur de moi...
Est-ce que ce n'est pas autre chose
Tu m'apprivoises et je dépose
Mes ombres fanées derrière moi
Peur de quoi
Peur de l'avenir qui se glisse
Entre ma peau et mes caprices
Quand je me perds au bord de toi
Peur de quoi
Tout simplement de reconnaître
Que tout est là, dans ces peut-être
Qui me chavirent autour de toi
Peur de moi...
Il n'y a rien d'autre à comprendre
Toi tu voulais des mots plus tendres,
Et moi... Je te parle de moi
Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Et que dans tous ces mots-là..."
(Patrick
Bruel)
"Quand je m'endors contre
ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerai toutes
Pour m'ancrer a ton port.
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors...
Pour t'aimer une fois pour
toutes
pour t'aimer coute que coute
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort..."
(Celine Dion)
"Je
suis le fruit d'une blessure
Le souffle d'un trop long combat
Dans le silence et sans injure
J'ai grandi dans des draps de soie
Je suis née
sans eclaboussure
Regardez-moi, rien ne se voit
Je n'en serai jamais trop sure
De vous a moi je ne sais pas
{Refrain:}
Mais si je m'en sors
Sans bleu au corps
Etre normale pour etre bien
Effacer quelques lignes de ma main
Et si je m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin, ensemble, alliés
Contre un drôle de destin
Je ne connais
pas le plus dur
Je n'ai pas vraiment de blessures
Sans vous je n'existerais pas
Sans vous je ne me connais pas
De cette
histoire ce qui me touche
C'est qu'il n'y a rien à regretter
Quelques silences au fond de moi
Y a des silences et c'est comme ca
{au Refrain}
Et si je
m'en sors
Un peu plus forte
Etre normale pour être bien
Effacer quelques lignes de ma main
Mais si je m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin, ensemble, alliés
Contre un drôle de destin
Drôle de destin
Et si je
m'en sors, sans bleu au corps"
(Julie Zenatti)
"Je
ne rêve plus je ne fume plus
Je n'ai même plus d'histoire
Je suis sale sans toi je suis laid sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir
Je n'ai plus
envie de vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n'ai plus de vie et meme mon lit
Se transforme en quai de gare
Quand tu t'en vas
Je suis malade
completement malade
Comme quand ma mere sortait le soir
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade
parfaitement malade
T'arrives on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais ou
Et ça va faire bientot deux ans
Que tu t'en fous
Comme à
un rocher comme a un pêché
Je suis accroché a toi
Je suis fatigué, je suis épuisé
De faire semblant d'être heureux quand ils sont là
Je bois toutes
les nuits mais tous les whiskies
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller tu es partout
Je suis malade
complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors
Je suis malade
parfaitement malade
Tu m'as privé de tous mes chants
Tu m'as vidé de tous mes mots
Pourtant moi j'avais du talent avant ta peau
Cet amour
me tue et si ça continue
Je crèverai seul avec moi
Près de ma radio comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera
Je suis malade
complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade
c'est ça je suis malade
Tu m'as privé de tous mes chants
Tu m'as vidé de tous mes mots
Et j'ai le cur complètement malade
Cerné de barricades t'entends je suis malade"
(Dalida ou
Serge Lama)
"Je
te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets
la clé des secrets de mon âme
Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois
comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets
des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets
mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois
comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même
si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écris à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même
si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
pas toute le nuit mais quelques heures ...
Je te promets
le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à me main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces..."
(Johnny Halliday)
"Je
serai toujours là
C'est une promesse
Que j'ai faite la
Comme une caresse
Les mots du cur
Sont merveilleux
Je sais
L'amour s'appelle nous deux
Je connais
ton cur
Je connais ton corps
Par cur
Même quand tu blesses
C'est la tendresse
Qui pleure
Faut que j'te dise à tout moment
J'ai peur
Si peur de me bruler le cur
J'm'arrêterai
pas de t'aimer
Quoiqu'il arrive je sais
Te mentir ça m'sert à rien
Et tout te dire
Ça m'fait du bien..."
(LaraFabian)
Si je pouvais
je te dirais
Reste avec moi
Sur mon cur et mon âme
Se brise une larme
Je n'ai pas le droit
J'ai envie de te garder là
Te parler tout bas
Quand ma peau nue frémit sous tes doigts
Et je vois dans tes yeux
Que c'est elle que tu veux
Tu t'en vas
me laissant seule derrière toi
Tu t'en vas et mon cur s'envole en éclats
Tu t'en vas en arrachant un bout de moi mais tu t'en vas
A chaque que fois retrouver ceux qui t'appartiennent
Retrouver celle qui se fait tienne sous ton toit
Anéantie
je te souris
Je n'peux plus parler
Je regarde derrière moi et je prends dans mes bras
Le calendrier
Des jours à t'attendre, à mourir, à m'ennuyer
de toi
J'aurais envie d'aller tout lui dire
Mais si tu n'me revenais pas
Comment te garder près de moi
Tu t'en vas
en me laissant seule derrière toi
Tu t'en vas et mon cur s'envole en éclats
Tu t'en vas en arrachant un bout de moi mais tu t'en vas
C'est la dernière fois
Je ne suis qu'une deuxième voix
Celle que ton cur n'entendra pas
Va t'en retrouver celle qui t'aime sous ton toit
Tu t'en vas tu t'en vas tu t'en vas
(Lara Fabian)
"...Des
projets, des rêves
s'arrachent et j'en crève
Je ne vis plus, je meurs
Même en surface
Te voir, me glace
et m'éventre le cur
Et toutes mes nuits se fondent
Tes bras une autre tombe
Je méprise même son ombre
et ton départ, mais...
Mais je t'appartiens
Comme l'orque et la mer ne font qu'un
Elles n'aiment qu'une seule fois
Puis échouent comme on se noie
Elles n'aiment qu'une seule fois..."
(Lara Fabian)
"...Et
moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs..."
(Pierre Bachelet)
"Elle
a fini par se lasser
De cette vie de ce métier
Des éternels aller retour
Entre le travail et l'amour
Puisqu'elle
se tourne vers toi
Essaie de l'aimer mieux que moi
Moi je n'ai pas su la comprendre
Je n'ai jamais su être tendre
Elle éteint
ma plus belle histoire
Je n'ai pas su la raconter
Me reste mes rêves de gloire
Mais j'ai plus envie de chanter
Protège-la
elle est fragile
Prends garde a ne pas la faire pleurer
Elle me quitte ainsi soit-il
Essaie au moins de bien l'aimer
Prends bien
soin d'elle
Prends bien soin d'elle
Prends bien soin d'elle
Sois lui fidèle
Prends bien
soin d'elle
Qu'importe qui elle aime pourvu qu'elle soit aimée
Si je l'aime quand même je me ferai discret
Qu'importe qu'elle s'en aille je serai bon perdant
J'aurai beaucoup moins mal si tu l'aime vraiment
Fais attention
elle s'enrhume
Aux premiers frimas de l'hiver
Elle craint la brise et la brume
Protège-la des vents contraires
Prends bien
garde a ne pas la perdre
A ne jamais la décevoir
Elle n'est pas de celle qui reste
En s'accrochant a leur mouchoir..."
(Claude Barzotti)
"C'était le mois de février
Ton ventre était bien rond
C'est vrai qu'on l'attendait
On voulait l'appeler Jason
Ce matin-là
il faisait froid
J'avais rendez-vous au studio
Et tout en soufflant sur mes doigts
J'disais l'petit s'ra un verseau
{Refrain:}
Avoir un seul enfant de toi
Ça f'sait longtemps que j'attendais
Le voir grandir auprès de toi
C'est le cadeau dont je revais
Qu'il ait ton sourire ton regard
Quand tu te lèves le matin
Avec l'amour et tout l'espoir
Que j'ai quand tu me tiens la main
Et puis on
m'a telephoné
Et moi bien sur j'ai tout quitté
Les churs, les cuivres et la rythmique
J'dev'nais papa c'était magique
Puis le taxi
m'a deposé
Devant la porte de la clinique
Et comme un fou je suis monté
Garçon ou fille c'était critique
{Refrain}
On m'a tendu
un paquet d'langes
Dans lequel petit homme dormait
Puis on m'a dit d'une voix étrange
Que c'était tout ce qui m'restait
Tout le monde
était très gentil
Et moi je ne comprenais pas
Que dans son cur y avait la vie
Et qu'dans le tien il faisait froid
{Refrain}
Ça
fait dix ans qu't'as fait le vide
Ça fait dix ans qu'tu n'es pas là
C'est le petit homme qui compte mes rides
Il dit qu'il t'aime à travers moi
Personne
depuis n'a pris ta place
L'enfant est là et j'l'aime pour deux
Ton image est bien trop vivace
Et c'est bien celle que j'aime le mieux"
{Refrain}
(Phil Barney)
"Quand
on n'a que l'amour
A s'offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu'est notre grand amour
Quand on
n'a que l'amour
Mon amour toi et moi
Pour qu'éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour
Quand on
n'a que l'amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d'y croire toujours
Quand on
n'a que l'amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs
Quand on
n'a que l'amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours
Quand on
n'a que l'amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours
Quand on
n'a que l'amour
A offrir en prière
Pour les maux de la terre
En simple troubadour
Quand on
n'a que l'amour
A offrir à ceux-là
Dont l'unique combat
Est de chercher le jour
Quand on
n'a que l'amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
A chaque carrefour
Quand on
n'a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans
avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains,
Amis le monde entier"
Jacques Brel
"...Moi,
j'ai entendu dire
Que l'amour fait souffrir,
Que l'amour fait pleurer.
A quoi ça sert d'aimer ?
L'amour ça
sert à quoi ?
A nous donner d' la joie
Avec des larmes aux yeux...
C'est triste et merveilleux !
Pourtant
on dit souvent
Que l'amour est décevant,
Qu'il y en a un sur deux
Qui n'est jamais heureux...
Même
quand on l'a perdu,
L'amour qu'on a connu
Vous laisse un goùt de miel.
L'amour c'est éternel !..."
(Edith Piaf)
"L'amour
était tout près de moi,
Je ne voyais rien
perdue dans mes pensées
si lointaines
et je l'ignorais, je sais bien
Mais j'attendais
que quelqu'un
vienne à mon secours
il m'a suffit d'un mot pour savoir
pour pouvoir y croire à mon tour
{Refrain:}
Il n'y qu'un simple pas...
de l'amitié à l'amour
faudra qu'ça arrive un jour
ce bonheur, je l'ai en moi...
de l'amitié à l'amour
j'ai besoin qu'il dure toujours
Un matin
j'ai ouvert les yeux
je t'ai regardé différemment
des autres jours
j'ai su que l'amour était né
Mais comment
savoir
aujourd'hui si c'est le bon choix
il ne m'a pas fallu
si longtemps
pour ne plus me passer de toi
{au Refrain}
On va faire
ensemble, j'espère,
un bon bout de chemin
peuplé de rêve et
de tempêtes
chacun doit y mettre du sien
Même
si je sais qu'amour
n'est pas un mot facile
je cherche encore
à comprendre
ce qui le rend bien
trop fragile"
{au Refrain}
(Ginie Line)
"...C'est
tellement court
Une vie
Tellement fragile
Aussi
Que de courir
Après le temps
Ne laisse plus rien
A vivre
Ce sera nous,
dès demain
Ce sera nous, le chemin
Pour que l'amour
Qu'on saura se donner
Nous donne l'envie d'aimer
Ce sera nous,
dès ce soir
A nous de le vouloir
Faire que l'amour
Qu'on aura partagé
Nous donne l'envie d'aimer..."
(Les 10 Commandements)
"...Mais
qui pourra
Me dire comment
Les aimer
Sans les trahir un peu
Tous les deux
Sans faire souffrir
Celui qui
Ne sera jamais heureux
Mais rester
encore celle qu'il désire
Qu'il soit le regard sans faille ou le sourire
Moi j'aimerais
pouvoir aimer
Aimer les yeux fermés
Pouvoir partager
Et l'amour et l'amitié
Mais dans le plaisir
Sans avoir à choisir..."
(Les 10 Commandements)
"Ils
ont peut-être eu peur que je pisse
Sur le marbre du bénitier
Ou pire que je m'accroupisse
Devant l'autel immaculé
Peur que je ne lève la patte
Quelque part dans les allées
Où siège cette foule ingrate
Qui nous parle d'humanité
Ils ont considéré peut-être
Que c'est un amour pas très catholique
Que celui d'un chien pour son maître
Alors, ils m'ont privé de cantiques
Un jour pourtant
je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Me voilà
devant la chapelle
Sous cette pluie qui m'indiffère
Tenu en laisse par un fidèle
Allergique aux lieux de prières
Les gens parlent à côté de moi
Tu as de la chance toi au moins
La souffrance ne t'atteint pas
L'émotion c'est pour les humains
Et dire que ça se veut chrétien
Et ça ne comprend même pas
Que l'amour dans le cur d'un chien
C'est le plus grand amour qu'il soit
Un jour pourtant je le sais
bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Je pourrais vivre dans la
rue
Etre bourré de coups de pieds
Manger beaucoup moins que mon dû
Dormir sur le pavé mouillé
En échange d'une caresse
De temps en temps d'un bout de pain
Je donne toute ma tendresse
Pour l'éternité ou plus loin
Prévenez-moi lorsque quelqu'un
Aimera un homme comme moi
Comme j'ai aimé cet humain
Que je pleure tout autant que toi
Un jour pourtant je le sais
bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens "
(Renaud)
"On
reconnait le bonheur paraît-il
Au bruit qu'il fait quand il s'en va
C'était pas l' dernier des imbéciles
Celui qu'a dit ça
Le mien s'en est allé hier
Après vingt berges de sous mon toit
Ca a fait
un boucan d'enfer
Je ne supporte pas
Ca fait croire un peu qu' les proverbes
Disent pas toujours n'importe quoi
Adieu l'amour, bonjour la merde
Qui tombe sur moi..."
(Renaud)
"Petit
Portoricain, bien intégré quasiment New-yorkais
Dans mon building tout de verre et dacier,
Je prends mon job, un rail de coke, un café,
Petite fille
Afghane, de lautre côté de la terre,
Jamais entendu parler de Manhattan,
Mon quotidien cest la misère et la guerre
Deux étrangers
au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur lautel, de la violence éternelle
Un 747, sest
explosé dans mes fenêtres,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les bombes ont rasé mon village
Deux étrangers
au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur lautel, de la violence éternelle
So long,
adieu mon rêve américain,
Moi, plus jamais esclave des chiens
Vite imposé lislam des tyrans
Ceux là ont-ils jamais lu le coran ?
Suis redevnu
poussière,
Je srai pas maître de lunivers,
Ce pays que jaimais tellement serait-il
Finalement colosse aux pieds dargile ?
Les dieux,
les religions,
Les guerres de civilisation,
Les armes, les drapeaux, les patries, les nations,
Font toujours de nous de la chair à canon
Deux étrangers
au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur lautel, de la violence éternelle
Deux étrangers
au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur lautel, de la violence éternelle"
(Renaud &
Axelle red)
"A m'asseoir
sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
En serrant dans ma main tes p'tits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d' pieds pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux qu'on piquait chez l' marchand
Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
Et les mistrals gagnants
A r'marcher
sous la pluie cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un p'tit peu
Et sauter dans les flaques pour la faire râler
Bousiller nos godasses et s' marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, r'partir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants
A m'asseoir
sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants
Et les mistrals gagnants"
(Renaud)
"J'ai
attrappé un coup de soleil,
Un coup d'amour, un coup d'je t'aime
J'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle
Si c'est un rêve, t'es super belle
J'dors plus la nuit, j'fais des voyages
Sur des bateaux qui font naufrages
J'te vois toute nue sur du satin
Et j'en dors plus, viens m'voir demain
Mais tu n'es
pas là, et si je rêve tant pis
Quand tu t'en vas j'dors plus la nuit
Mais tu n'es pas là, et tu sais, j'ai envie d'aller là-bas
Le fenêtre en face et d'visiter ton paradis.
J'mets tes
photos dans mes chansons
Et des voiliers dans ma maison
J'voulais m'tirer, mais j'me tire plus
J'vis à l'envers, j'aime plus ma rue,
J'avais cent ans, j'me r'connais plus
J'aime plus les gens depuis qu'j't'ai vue
J'veux plus rêver, j'voudrais qu'tu viennes
Me faire voler, me faire je t'aime.
Ça
y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide
J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide
J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine
J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel
Je m'jette à l'eau des pluies d'été
J'fais du bateau dans mon quartier
Il fait très beau, on peut ramer
La mer est calme, on peut s'tirer"
(Richard
Cocciante)
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